les-vies-de-papierPrix Femina Etranger 2016

  Promenade dans Beyrouth

Le prix Femina Etranger a été décerné à Rabih Alameddine paru fin août aux éditions Les Escales par cinq voix contre quatre pour Petina Gappah (Le livre de Memory, éditions Lattès)

Quatrième de couverture : « Roman éblouissant à l’érudition joueuse, célébrant la beauté et la détresse de Beyrouth, Les Vies de papier est une véritable déclaration d’amour à la littérature.
Aaliya Saleh, 72 ans, les cheveux bleus, a toujours refusé les carcans imposés par la société libanaise. À l’ombre des murs anciens de son appartement, elle s’apprête pour son rituel préféré. Chaque année, le premier janvier, après avoir allumé deux bougies pour Walter Benjamin, cette femme irrévérencieuse et un brin obsessionnelle commence à traduire en arabe l’une des œuvres de ses romanciers préférés : Kafka, Pessoa ou Nabokov.
À la fois refuge et « plaisir aveugle », la littérature est l’air qu’elle respire, celui qui la fait vibrer comme cet opus de Chopin qu’elle ne cesse d’écouter. C’est entourée de livres, de cartons remplis de papiers, de feuilles volantes de ses traductions qu’Aaliya se sent vivante.
Cheminant dans les rues, Aaliya se souvient de l’odeur de sa librairie, des conversations avec son amie Hannah, de ses lectures à la lueur de la bougie tandis que la guerre faisait rage, de la ville en feu, de l’imprévisibilité de Beyrouth ».

Roman éblouissant à l’érudition joueuse, célébrant la beauté et la détresse de Beyrouth, Les Vies de papier est une véritable déclaration d’amour à la littérature.

Traduit de l’anglais par Nicolas Richard, le livre avait été finaliste en 2014 aux National Book Awards.

« Un des personnages féminins les plus beaux, les plus originaux des dernières années » Mathias Enard – Prix Goncourt 2015

« On se laisse complètement absorber par ce conte libanais. C’est un livre magnifique et sensible dans lequel Aaliya erre dans les rues bruineuses de la capitale libanaise autant dans ses rêveries, entre un passé grandiose et un présent en pleine mutation, entre les fictions de la littérature et la réalité du quotidien. On rêve avec elle ». « Les libraires ensembles »

Félicitations à Rabih Alameddine

Marie-Christine.

Une réponse à « « Les vies de papier » -Rabih Alameddine -Editions Les Escales- »

  1. Un Femina étranger particulièrement remarquable.C’est de la littérature en même temps que du dépaysement.Un auteur à connaître.
    M-J72

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