UN VOYAGE ENCHANTEUR !
Prenez vite votre ticket pour un aller-retour en tramway, Marie-Adélaïde nous emmène au Japon, à bord d’une ligne privée (Takarazuka-Nishinamiya) Province du Kansai, en direction d’Ōsaka–Kōbe.
Ce trajet comporte huit stations. Nous allons prendre cette ligne en deux saisons, au printemps et à l’automne, en respectant scrupuleusement les huit arrêts et huit chapitres à chaque fois.
Est-ce que vous déjà montés dans un train, un wagon, un bus, un métro en regardant les passagers et en se demandant ? Mais quelle est leur vie ? Que vont-ils faire ? Qui vont-ils rencontrer ?
Toutes ces questions que l’on se pose… Et raison de plus lorsque, chaque fois vous les retrouvez régulièrement et dont l’auteure va vous donner la chance de les voir, tout au long d’un trajet, certes monter et descendre… Vous les retrouverez avec ce fameux décalage.
C’est un texte absolument merveilleux, écrit par une auteure japonaise, plein de charme et de qualités. Grâce à cette auteure, nous devenons observateurs de la vie, de ces personnages, des paysages, de la vie japonaise. Nous allons rentrer dans leur intimité et nous allons mieux connaître leur façon de vivre dans leurs habitudes, leurs ruptures, leur désir de vengeance.
Ce sont, en fait des histoires terriblement universelles qui se passent au Japon, en Europe ou encore en France.
C’est un roman doux, un roman léger et riche de beaucoup de réflexions.
C’est terriblement humain et c’est très émouvant. Vraiment, je vous propose un trajet EN-CHAN-TEUR, à l’image de la couverture de ce livre !
Écoutez Marie-Adélaïde sur France Bleu Maine, en compagnie de Caroline Jouanneau, en cliquant ici
Marie-Adélaïde de la librairie Doucet/MC
Hiro Arikawa est née en 1972 dans la préfecture de Kochi, dans le sud du Japon. Après « Les mémoires d’un chat » paru en 2017, qui a obtenu un vif succès et a été traduit dans de nombreux pays, « Au prochain arrêt » est son deuxième roman publié chez Actes Sud.
« Au prochain arrêt » – 183 pages – (parution mai 2021) – Prix : 18.50 € – Traduit par Sophie Refle.