Livre de poche – En hommage à Émile Verhaeren mort le 27 novembre 1916 – (cf. 2ème partie)
UN GRAND POÈTE BELGE, RACONTÉ PAR STEPHAN ZWEIG

Présentation : « C’est en 1910 que Stefan Zweig publie ces pages consacrées au célèbre poète belge, auteur des « Villes tentaculaires« . Tout le passionne dans cette œuvre : son intense, expression de l’âme flamande, la puissance avec laquelle elle traduit les forces du monde moderne, industrie, urbanisation, masses ouvrières. «Toutes les manifestations de l’activité moderne se reflètent dans l’œuvre de Verhaeren et s’y transmuent en poésie», écrit-il. Par-dessus tout, Verhaeren lui apparaît comme une des grandes voix qui incarnent l’Europe ».
« Avec la même curiosité passionnée qui le pousse vers Erasme ou Nietzsche, Balzac ou Freud, le romancier de « La Confusion des sentiments » et du « Joueur d’échecs » souligne ici la portée universelle d’une œuvre qui – à l’instar de la sienne – voulut témoigner pour l’Homme face à l’écrasement du monde et de l’Histoire. »
Belle évocation de Stephan Zweig sur la vie et l’œuvre d’Émile Verhaeren, ce grand poète de la modernité, mort accidentellement en gare de Rouen en 1916 ! Pour tous ceux qui aiment Émile Verhaeren ou qui souhaitent le découvrir !
LIBRAIRIE DOUCET LE MANS/M-Christine
Stefan Zweig, né à Vienne en 1881, fils d’un industriel, a pu étudier en toute liberté l’histoire, les belles-lettres et la philosophie. Grand humaniste, ami de Romain Rolland, d‘Émile Verhaeren et de Sigmund Freud, il a exercé son talent dans tous les genres (traductions, poèmes, romans, pièces de théâtre) mais a surtout excellé dans l’art de la nouvelle : « La Confusion des sentiments », « Vingt-quatre heures de la vie d’une femme » Essais et biographies Marie-Antoinette, Fouché, Magellan…. Désespéré par la montée du nazisme, il fuit l’Autriche en 1934, se réfugie en Angleterre puis aux États-Unis. En 1942, il se suicide avec sa femme à Petrópolis, au Brésil.
Stephan Zweig, sa vie, son œuvre, 224 pages – Livre de poche paru le 29/03/1995 – Traduit de l’allemand (Autriche) par Paul Morisse.

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