Le dimanche des mères -Graham Swift – du monde entier Gallimard –

le-dimanche-des-meres Roman d’un amour interdit et secret  lors  de cette journée si particulière, un « dimanche des mères »!

Nous sommes en Angleterre le 30 mars 1924 et c’est le jour du « dimanche des mères« . Comme chaque année, les aristocrates donnent congé à leurs domestiques afin qu’ils rendent visite à leur mère.

Jane Fairchild, âgée de 23 ans est femme de chambre chez un couple d’aristocrates, les Niven, dans le Berkshire.. Elle est orpheline, le dimanche des mères ne la concerne pas et c’est Paul Sheringham, son amant qu’elle ira rejoindre en secret. Ce jeune homme de bonne famille est à 15 jours de son mariage, un mariage arrangé avec une jeune fille de son milieu. Paul et Jane doivent mettre un terme à cette relation clandestine qui dure depuis sept ans. Ils vont goûter pour la dernière fois, à leurs rendez-vous secrets puis Paul s’en ira rejoindre sa fiancée, Emma Hobday, riche héritière, laissant Jane seule dans la maison vide….

« A l’époque, elle avait compris que les livres étaient une nécessité, le rocher sur lequel était fondée sa vie ». Jane est différente des autres bonnes. Elle aime les mots, la littérature, la vie.  Elle a le goût de l’écriture. Elle dit être venue au monde avec le permis d’inventer des histoires.

extrait de la 4ème de couverture :« Graham Swift dépeint avec sensualité et subtilité une aristocratie déclinante, qui porte les stigmates de la Première Guerre -les fils ont disparu, les voitures ont remplacé les chevaux, la domesticité s’est réduite… Il parvient à insuffler à ce court roman une rare intensité, et célèbre le plaisir de la lecture et l’art de l’écriture« .

Un roman d’apprentissage bouleversant, teinté de poésie, de douceurs…. de belles pages sur l’amour. Par petites touches, nous suivons le portrait délicat et la vie de Jane, en cette journée si particulière.

Ce roman est « Un véritable joyau »  ! (The Guardian)

« Une version féministe de Cendrillon à l’époque de Downton Abbey » (The New York Times)

« Le dimanche des mères » traduit de l’anglais par Marie-Odile Fortier-Masek –  Prix 14,50 €uros

M. Christine

Né à Londres en 1949, Graham Swift est l’auteur de « Le pays des eaux » -1983. Il a été accueilli comme une révélation et a reçu le prestigieux Guardian Fiction  Prize – « A tout jamais » a obtenu en 1993, le prix du Meilleur Livre  étranger – « La dernière tournée », le Booker Prize en 1996. Ses autres romans traduits en français sont « La lumière du jour », « Demain » et « J’aimerais tellement que tu sois là ».

 

 

 

 

Une réponse à “Le dimanche des mères -Graham Swift – du monde entier Gallimard –”

  1. 142 pages seulement pour cet excellent petit roman de Graham SWIFT.En plus de cette histoire d’amour racontée par Jane à l’âge de 90 ans,dans le désordre ,selon ses pensées(et elle ne dira pas tout,mai le lecteur,lui,sait tout!),en plus de l’humour,de la malice,de la nostalgie que nous ressentons ,
    c’est aussi une très belle et intéressante interrogation sur l’écriture,la part de la fiction et de la réalité.
    Le plaisir de la lecture est tout particulier dans ce roman intense.UN VRAI PETIT BIJOU.
    M-J 72

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