« Parmi les loups et les bandits » – grand prix de littérature américaine 2016 – Atticus Lish – Editions Buchet/Chastel –

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Un oeil sur l’Amérique : sur New-York !

Prix de littérature américaine 2016

Bonne nouvelle pour ce prix qui vient d’être attribué en cette veille d’élection américaine,  à Atticus Lish, auteur de ce premier roman : « Parmi les loups et les bandits ». Il est traduit par Céline Leroy, publié lors de la rentrée littéraire par Buchet-Chastel. Ce 7 novembre 2016, il remporte le Grand prix de littérature américaine 2016.

Atticus Lish, né en 1972, est le fils du légendaire éditeur Gordon Lish. Après Harvard, il enchaîne les petits boulots puis se consacre depuis quelques années à l’écriture. Couronné de nombreux prix, « Parmi les loups et les bandits », son premier roman, est publié dans plus de dix pays.

« Parmi les loups et les bandits » est une odyssée âpre et lyrique à travers l’autre Amérique, celle des déshérités. Cette histoire d’amour nomade et tragique entre une clandestine chinoise et un vétéran de la guerre d’Irak errant dans le Queens, devient, par la force de la littérature et le regard de Lish, un immense texte politique. L’amour fou de ces outlaws modernes les mènera au pire, mais avant, Lish nous assène l’histoire de ces hommes et ces femmes qu forment le corps organique de la grande ville : clandestins, main d’oeuvre sous-payée, chair à canon, achevant sous nos yeux les derniers vestiges du rêve américain. »

Quatrième de couverture : « C’est dans un New York spectral, encore en proie aux secousses de l’après-11 septembre, que s’amorce l’improbable histoire de Zou Lei, une clandestine chinoise d’origine ouïghoure errant de petits boulots en rafles, et de Brad Skinner, un vétéran de la guerre d’Irak meurtri par les vicissitudes des combats. Ensemble, ils arpentent le Queens et cherchent un refuge, un havre, au sens propre comme figuré. L’amour fou de ces outlaws modernes les mènera au pire, mais avant, Lish prend le soin de nous décrire magistralement cette Amérique d’en bas, aliénée, sans cesse confinée alors même qu’elle est condamnée à errer dans les rues. Il nous livre l’histoire de ces hommes et de ces femmes qui font le corps organique de la grande ville : clandestins, main-d’œuvre sous-payée, chair à canon, achevant sous nos yeux les derniers vestiges du rêve américain. »

« Lancé en 2015 à l’initiative du libraire et éditeur Francis Geffard, fondateur du Festival America et de la librairie Millepages, le prix a pour objectif de « couronner un roman américain, paru depuis le 1er janvier, qui se distingue par ses qualités littéraires de premier plan ». Il sera remis à son lauréat fin novembre à Paris. »(Livres Hebdo)

Une vision de l’Amérique qui ne laisse pas indemne.

 Bonne lecture à tous  ! Dès ce soir, plongez-vous dans  cette Amérique, dans ces 557 pages qui vous feront patienter dans l’attente du résultat de ces élections américaines !

Marie-Christine

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